Description
Une apiculture locale !
Aujourd’hui les trois quarts du miel vendu en France est importé, majoritairement d’Ukraine, d’Espagne, d’Argentine et de Chine. Je souhaite produire un miel local en Gironde, au Sud de Bordeaux.
Une apiculture naturelle et sobre !
A l’état naturel, les colonies d’abeilles colonisent des troncs d’arbres ou des cavités et y restent toute l’année... jusqu’à ce qu’elles décident d’essaimer – décision prise collectivement et démocratiquement.
Je proposerai aux abeilles des ruches en bois qui seront installées en bordure de forêts ou chez des paysans bio, dans des milieux aussi préservés et diversifiés que possible afin qu’elles y restent toute l’année.
Dans un objectif de sobriété énergétique, les ruches seront installées à moins de 20 km de mon domicile.
Une apiculture qui fait sens, qui crée du lien !
Des contacts sont déjà pris avec les mairies, les gestionnaires de forêts, un maraîcher et un viticulteur en bio. Je développerai une apiculture qui fera sens autour de la biodiversité car l’abeille est une sentinelle de l’environnement, elle est très sensible aux pollutions.
Afin de créer du lien avec les habitants, les enfants et les citoyens, je prévois d’acquérir des supports pédagogiques, et si mon budget le permet, des ruches vitrées pour les plus curieux.
Une apicultrice en devenir !
Passionnée de nature, d’environnement et de sobriété, j’ai des ruches depuis plusieurs années. En 2019 j’ai franchi un cap en me formant (BPREA) et en passant 3 mois en stage chez un apiculteur du département qui a fait le choix de rester de taille modeste, et de vendre en circuit court.
Désormais, tout en continuant mon activité professionnelle actuelle dans un 1e temps, mon objectif est de m’installer progressivement pour devenir apicultrice professionnelle d’ici 5 ans.
Utilisation des fonds
Des ruches en bois et des essaims girondins
En cofinançant l’achat de ruches et d’essaims, vous me donnez un beau signe de soutien et un coup de pouce significatif. Les ruches seront en bois comme les troncs d'arbres que les abeilles colonisent, les essaims achetés à des apiculteurs de la Région.
La 1e année, les jeunes essaims ont besoin de tout le miel élaboré à partir du nectar des fleurs : je fais le choix en 2020 de laisser aux essaims leur propre nourriture pour passer sainement l’hiver 2020-2021.
Pas de récolte cette année, pas de trésorerie non plus ! Le montant souhaité représente environ la moitié de l'investissement nécessaire cette année, vous m'aidez donc de façon significative en m'accompagnant dans ce beau projet.