Description
Partout dans le monde, les manifestations sur l’urgence écologique montrent combien les sociétés dites modernes ont longtemps fermé les yeux sur les comportements dévastateurs de la surconsommation, de l’utilisation à outrance des ressources naturelles et du sort réservé aux Peuples dits « Premiers », les Peuples Racines.
Ces Peuples ont toujours eu conscience de l’importance de prendre soin de la Terre Mère comme ils la nomment. Car c’est elle qui nous nourrit et nous protège. Pour eux, la Terre est un être vivant. De son équilibre et de sa santé dépend la nôtre. En tant que gardiens de la terre, ils se sentent responsables et dépositaires d’une connaissance des lois d’harmonie.
Le documentaire « Le chant qui guérit la terre » propose de croiser le regard sur ce que nous avons de commun, la nature, les éléments vitaux, et notre relation au vivant.
Dans la culture amérindienne, le chant honore la Vie et permet de maintenir ou de restaurer l’harmonie. Le chant célèbre aussi les éléments comme l’eau, l’air, le feu et la terre. D’eux, dépend l’harmonie sur notre planète.
Ces chants, contemporains ou traditionnels, permettent de se relier à la mémoire. La mémoire du passé, du présent, du futur.
Nous allons les filmer parce qu’ils nous racontent leurs histoires, notre histoire ; celles de leurs chants, de notre chant, celles de leur territoire, de notre territoire.
C’est un dialogue qui peut nous inspirer, nous aider à transmettre à notre tour d’autres valeurs, pour le monde de demain.
Que raconte le film ?
« Le Chant qui guérit la Terre » est un film à plusieurs voix : il retrace la rencontre entre deux cultures autour de la question de l’harmonie et de la guérison de la Terre dont nous faisons partie intégrante.
C’est par le chant que le cours de la vie de Lorenza Garcia a changé. Elle rencontre, il y a vingt ans, le peuple Diné qui l’initie à la culture navajo. Auprès d’eux, elle découvre le concept d’Hozho qui signifie à la fois Beauté, Harmonie, Equilibre, Santé.
Si le chant, ici, est un art, là-bas il a le pouvoir de guérir et tient une place fondamentale dans la culture amérindienne. Aux côtés de Lorenza, nous allons découvrir une nouvelle perception des relations entre l’Homme et la Nature selon les enseignements des peuples amérindiens.
La venue d’une délégation d’amérindiens Navajo et d’une chanteuse Comanche du groupe musical Thoz Womenz en France, ainsi que le voyage de Lorenza en terres indiennes d’ Arizona et de Californie, donneront également lieu à des témoignages, et des cérémonies de purification par le chant, ici en France comme là-bas.
Entre des terres meurtries par certaines mémoires du passé et la rencontre de ceux qui œuvrent pour guérir la terre, se tissera, sur les deux continents, un temps de dialogues parlés, chantés pour une réconciliation entre l’Homme et la Nature.
Nous découvrirons en quoi le chant est un moyen d’harmonisation dans les relations d’interdépendance avec le vivant
Où irons-nous ?
Etats-Unis
Le film nous conduira aux côtés de chanteuses amérindiennes issues de différentes tribus, dans la région de Paradise en Californie, terre meurtrie par l’immense incendie de 2018.
C’est à Indian Canyon Californie que nous découvrirons Ann Marie Sayers. Dirigeante Mutsun Ohlone, la terre de ses ancêtres reconnue officiellement comme terre indienne accueille tous les autres peuples autochtones qui en ont besoin pour leurs cérémonies. Sa générosité et son témoignage inspirants participent à nourrir nos réflexions dans nos relations avec nos milieux de vie.
Nous irons en Arizona, en terre Diné (navajo) pour découvrir la fonction des chants-médecine et écouter, au cœur des terres arides du territoire, le témoignage de ceux qui continuent à préserver la terre et à utiliser des méthodes de culture traditionnelles, seul refuge possible devant l’immensité désertique qui les entoure.
France
Sur les plages de Normandie de Omaha Beach où près de 500 Amérindiens ont débarqué durant la période de la Seconde Guerre Mondiale, nous irons à la rencontre des indiens Diné, où une prière, un chant, une cérémonie du tabac seront donnés à la Terre comme une offrande.
Au cœur de l’Ardèche, nous irons sur une terre guérie, celle de Pierre Rabhi en compagnie de la chanteuse Comanche Magdalena. Cette rencontre permettra de connaître le point de vue de chacun sur l’Homme, conscient de son interconnexion avec le vivant. Puis au bord d’un ruisseau du Bois de Paiolive, Magdalena et Lorenza, accompagnées du tambour, entameront un chant de cérémonie pour l’eau.
Le chant, la voix pour vivre en harmonie avec le vivant.
Dans la culture des Diné, le terme « Hozho » se traduit par beauté, harmonie, santé, joie, humour, conscience, équilibre. Là où nous avons plusieurs concepts, ils ont un mot unique qui définit, sans le réduire, leur relation à la terre, à la vie. Pour eux, Hozho permet de créer en soi le lien d’équilibre entre le monde visible et invisible.
Afin que l’harmonie puisse exister au sein de la communauté, des cérémonies sont organisées. Ces rituels, composés de réalisations de peinture de sable dites sacrées, sont accompagnés de chants. Ils intègrent l’histoire d’une cosmogonie ancestrale transmise de génération en génération dont les Hataalis, hommes médecine, sont les garants.
Pour beaucoup de communautés amérindiennes, les chants, sont là pour célébrer les mondes et les lieux qui leurs ont permis de se développer. Ils permettent de revivre les grandes étapes de la création de maintenant jusqu’au commencement. Ils font résonner le cœur d’un système qui ne comporte pas de notion de séparation puisque l’être en tant que tel fait parti d’un tout. Ils font appel aux voix/voies qui sont entendues, la capacité à un collectif qui est capable d’entendre toutes les voix même si elles sont différentes. Les chants sont aussi issues de rires, de fêtes et permettent de célébrer ce qui va bien.
Certains chants peuvent être accompagnés du tambour. Pour les chanteurs autochotones, le rythme du tambour permet de se relier au rythme du battement du coeur de la Terre Mère.
Aujourd’hui, les femmes autochtones ont trois fois plus de risque d’être victimes de violence que les autres femmes américaines. Elles sont confrontées à la répression et à l’intimidation qui les empêchent de s’exprimer artistiquement et spirituellement. Afin de penser un autre monde, ces femmes amérindiennes se rassemblent. Entre sœurs d’esprit et accompagnées de leurs tambours, elles chantent pour préserver leur identité. Chanter seule ou ensemble c’est s’autoriser à guérir de ses propres blessures et faire que leurs traces soient accueillies au sein de la Terre mère. C’est tout simplement restaurer le lien d’harmonie avec la terre.
Le film nous invite à comprendre en quoi ces voix authentiques peuvent frayer une voie de passage qui rend possible ce lien : celui de l’interdépendance, de l’équilibre avec le vivant.
Le film nourrit la réflexion sur des questions qui participent au fait que nous dépendons de la terre et que nous avons le devoir de prendre soin d’elle pour le bien de tous les peuples et des autres espèces reliées à l’équilibre de la vie.
Rencontre avec les personnages du film
April Lea Go Forth, Aniyvwiya, Leader du groupe Thoz Womenz
April Go Forth est une femme amérindienne Cherokee engagée principalement autour de les conflits dans les familles et la violence faites aux femmes et aux enfants. Experte auprès des institutions sociales d’étudiants multiculturels et amérindiens locales, des organisations nationales mais aussi internationales tel que Born to Drum, www.womendrummers.org, et RedDress MMIW Movment. (Mouvement en faveur des femmes autochtones disparues et assassinées) font appellent à elle chaque année. Gardienne de Tambour, elle est aussi fondatrice du groupe Thoz Womenz. Elle produit, publie des albums musicaux qui parlent de la protection de la Terre Mère et relatent de chants spirituels ancestraux et contemporains. Sa dernière production, S.O.S, Songs for Our Sisters, est destinée à l’émancipation des femmes amérindiennes. Ce CD est composé de musiques de femmes mais aussi de chants dont la langue maternelle est amérindienne. Pour April, respecter la langue maternelle, berceau de la culture première des Peuples Amérindiens des Etats-Unis, c’est rester au service d’une communauté qui inclut les jeunes générations, la guérison et le lien avec le Vivant.
Magdalena Steele, Chicana, Chiricauha Nde, Comanche, « faiseuse de paix »
Ancienne directrice du leadership des jeunes à la Fondation Million Mom March, elle est actuellement consultante principale pour l'initiative de prévention communautaire et fondatrice de 7th Generation Warriors for peace. Sa vocation est destinée à œuvrer avec les jeunes pour prévenir de la violence, des conflits et pour promouvoir la guérison et la responsabilisation de « l’homme et la nature ». Elle a mis en œuvre des programmes de leadership partout en Californie et aux États-Unis et a été reconnue par la Society of Professionals in Dispute Resolution pour son excellence et son innovation dans son travail auprès des jeunes femmes. Elle est aussi artiste accomplie, conteuse, poète et chanteuse.
Anne-Marie Sayers, Mutsun / Ohlone, Owner Indian Canyon
Anne Marie Sayers est présidente tribale de Indian Canyon. Elle a mené une longue bataille juridique pour récupérer les terres situées dans l’Indian Canyon, qui appartenaient à sa famille depuis des siècles. Elle vit pour honorer ses ancêtres. Ann-Marie est également directrice de Costanoan Indian Research Inc., une organisation de Californie qui se consacre à la préservation et à la restitution des objets d’art autochtones à leurs groupes tribaux.
John Yazzie - Nabaawxo-Diné
John Yazzie a grandi dans la moitié ouest du territoire Diné. Après l’obtention d’un baccalaureat « Science in Forestry », il a travaillé pour l'US Forest Service. Membre de la Marine Corps Historical Company, il donne des conférences sur les Navajo Codes Talker. Son intérêt pour l'histoire de l'Occident, des Etats-Unis en interaction avec le monde spirituel Diné fait de lui un historien hors pair. L’une de ses passions est de fabriquer à la main des mocassins traditionnels Diné.
Jim Harrison - Navajo-Diné
Artiste primé à l'échelle nationale dans la conception et la fabrication de bijoux incrustés, Jim Harrison, "Le Maître de l'Insert" a gagné de nombreux prix au prestigieux Santa Fe Indian Market, Smithsonian National Museum of the American Indian, Eiteljorg, Navajo Nation Fair et d'autres grandes expositions d'art et musées. Ses bijoux illustrent les histoires des DinéYei Bei Bei Chais et des Kachinas (Etres Sacrés), constellations de scènes de nuit et de paysages désertiques. Chaque pièce incrustée de pierres, coquillages, d’or et d’argent est unique.
Pierre Rabhi
Pierre Rabhi est paysan, écrivain et penseur français d'origine algérienne. Il est l’un des pionniers de l’agriculture écologique en France. Il défend un mode de société plus respectueux des hommes et de la Terre et soutient le développement de pratiques agricoles accessibles à tous et notamment aux plus démunis, tout en préservant les patrimoines nourriciers. Reconnu comme expert international pour la sécurité alimentaire, il a participé à l’élaboration de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification, Pierre Rabhi appelle à "l'insurrection des consciences" pour fédérer ce que l'humanité a de meilleur et cesser de faire de notre planète-paradis un enfer de souffrances et de destructions. Il a fondé le mouvement Les Colibris né d’une légende amérindienne. A 80 ans, Pierre Rabhi continue à lutter pour la terre nourricière afin d’inaugurer une nouvelle éthique de vie vers une « sobriété heureuse ».
Qui sommes-nous ?
Navajo France
Depuis 20 ans, Navajo France oeuvre à promouvoir en France la culture des indiens Navajo ou encore Diné, le « Peuple » en langue navajo. Fondée sur le principe de beauté et d’harmonie appelé en langue navajo « Hozho », la philosophie et la culture Navajo apportent une réponse originale et féconde à certaines interrogations contemporaines.
Les actions de Navajo France se fondent sur le dialogue entre les cultures. Ceci via la participation à des manifestations internationales ; des actions culturelles en France et en pays Navajo ; des échanges culturels ; des ateliers artistiques ; l’organisation de chantiers participatifs en agro-écologie pour jeunes européens en lien avec le Fonds de Dotation Pierre Rabhi.
Après avoir passé près de 20 ans au sein de la communauté Navajo en tant qu’artiste chanteuse et plasticienne, Lorenza Garcia, consultante de Navajo France crée son activité indépendante d’accompagnement à la philosophie Hozho qui veut dire beauté, harmonie en langue navajo. Elle a à cœur de partager son expérience et d’animer des ateliers de chant et de réalisation de peinture de sable artistique contemporain inspirés de la philosophie Hozho des Navajo
L’équipe de réalisation
Lorenza Garcia
Après avoir passé près de 20 ans au sein de la communauté Navajo en tant qu’artiste chanteuse et plasticienne, Lorenza Garcia, consultante de Navajo France crée son activité indépendante d’accompagnement à la philosophie Hozho. Elle partage son expérience en animant des ateliers de chant et de réalisation de peintures de sable artistique contemporain inspirés du concept d’Hozho pour cheminer sur la voie de l’Harmonie.
En 2019, Lorenza réalise un nouvel album appelé “HOPE2U” : une compilation de 11 titres co-écrits, réalisés et interprétés par elle et le musicien Laurent DANIS. Chacun des titres est basé sur un tempo unique esquissant le rythme des danses amérindiennes aux aspects spirituels et historiques (Round Dance) : http://bit.ly/Hop2U.
En 2018, le groupe musical de chanteuses amérindiennes, Thoz Womenz, contacte Lorenza. Le concept de Thoz Womenz est de composer des chants crées pars des femmes pour des femmes et soutenir un autre rapport à la terre où le rôle du féminin dans le monde amérindien est essentiel. De cette rencontre naitra entre elles un chant destiné à la réalisation d’un CD appelé : SOS, Songs for Our Sisters.
En 2017, Lorenza co-réalise avec Bruno Vienne un documentaire appelé, Navajo Songline.
En 2015 elle réalise un album musical appelé La Beauty, avec des chanteurs de la tribu Navajo et Ojibwa.
Nina Barbier
Auteur et réalisatrice de télévision, Nina Barbier collabore depuis plus de vingt ans avec les chaînes françaises et étrangères (ARTE, France 2, France 3, France 4, France Ô, France 5, Ushuaia TV, Equidia , BBC 4, et PBS) Passionnée par les cultures du monde entier, elle a réalisé de nombreux documentaires de découverte en Inde, au Japon, au Népal. Elle est notamment réalisatrice pour l’émission « Sagesse bouddhiste » diffusée sur France 2 depuis 10 ans. Elle est par ailleurs scénariste et auteur de livres «le Petit traité d’Ethno-pâtisserie» en collaboration avec Emmanuel Perret, éditions JC Lattès (1997), et « Les Malgré-elles » éditions « La Nuée Bleue », Strasbourg, (2000).
Les dates et lieux du tournage
Tournage : juillet, août, septembre 2019.
3 semaines de tournage en Terre Navajo, en Californie et en France.
Les États concernés : Arizona/Californie.
Les Partenaires
Camera Lucida
Depuis sa création en 1995, Camera lucida a produit des programmes innovants avec une ligne éditoriale centrée sur les thèmes culturels (Histoire, Science, Découverte, Art, Spectacle vivant), sur tous types de supports, du très grand format Imax 3D aux applications pour Ipad et Smartphone, en passant par la télévision, le web, et dernièrement la VR avec le projet The Enemy. Avec une cinquantaine de programmes produits par an, Camera lucida est un producteur de documentaires reconnu. Fort de son savoir-faire et de sa notoriété, Camera lucida continue d'investir tous les champs de la production audiovisuelle avec des oeuvres portées par des collaborateurs detalent.
Au sein de Camera lucida, Valérie Grenon a produit des magazines, des séries documentaires et des unitaires autour de l’aventure humaine, de la science, de la nature et de l’environnement pour de nombreuses chaînes françaises (Arte, France 3, France 2, France 5, Canal Plus, …) et étrangères. Dernières productions en date : Lune (90’ pour Planète+), Histoires d’Arbres (série de 10 x 43’ pour Arte), In the Starlight (52’ pour Ushuaïa TV), avec Paul Zizka, Tsukasa (52min pour Ushuaia Tv) réalisé par Nina Barbier, et enfin Voyage sur les Flots Célestes avec Hélène Courtois (90’ diffusé sur France 5).
Ses thèmes de prédilection sont la découverte au sens large, et particulièrement la nature, l’animalier, la science et les cultures traditionnelles.
Club HEC Spiritualités
Le Club SpiritualitéS d'HEC Alumni a été créé en 2018 par Marie Regnault et Michel Fareng pour sensibiliser la communauté HEC élargie à des questions spirituelles qui vont impacter de plus en plus à l'avenir les individus, les structures et les sociétés à l'avenir .
Par ailleurs, le Club HEC SpiritualitéS a pour vocation de diffuser des connaissances et des visions du monde autre. S'inspirant d'elles, il offre des opportunités de formation à de nouvelles techniques certes ancestrales mais opérationnelles dans les entreprises.
Le Club HEC SpiritualitéS propose des rencontres exceptionnelles, des échanges avec des écrivains, des ateliers pratiques de sensibilisation ou d'apprentissage, au rythme d'un événement mensuel au minimum.
Le film sera aussi destiné à être diffusé dans le cadre de conférences en lien avec le Club HEC SpiritualitéS.
La Nef – Zeste
Unique en France, la Nef est une coopérative financière qui offre des solutions d’épargne et de crédit orientées vers des projets ayant une utilité sociale, écologique et/ou culturelle. Zeste est la plateforme de financement participatif sous forme de dons de la Nef dédiée aux acteurs de la transition écologique, sociale, et culturelle.
Describe your project goal
Le film reste de nos jours un outil de sensibilisation réussi dont la qualité constituera un formidable atout pour faire passer notre message. Il nous semble important de pouvoir faire appel à l’intelligence collective en ces temps de mutations avec un futur qui est à construire.
Le crowdfunding nous permet de finaliser notre projet de film.
Si la co-production avec la chaine Ushuaia TV rend possible une première partie déterminante avec les tournages, il nous faut recueillir d’autres fonds pour assumer les différents coûts du film (montage et post-production) et lui donner sa visibilité future.
C’est donc avec votre soutien, citoyens de la Terre, représentants des institutions, des médiateurs intervenant à l’échelle locale, nationale et internationale, que nous arriverons à relever ce défi.
De nombreuses communautés amérindiennes se regroupent de manière pacifique pour alerter l’opinion internationale du malaise écologique et des dévastations dues à l’avidité de sociétés grandissantes. Ce film est aussi le vôtre. Il permet d’être à l’écoute de celles et ceux qui, par leurs chants porteurs de messages d’humanité de spiritualité et de respect, guérissent la terre.
Merci de votre soutien et de votre confiance. C’est ensemble que nous pouvons faire émerger des projets inspirants pour participer aux changements de notre époque.